STRAVAGANZA D'AMORE!
Raphael Pichon, Ensemble Pygmalion
Renato Dolcini (Orfeo & Apollo)

"Renato Dolcini domine quasiment le second et le troisième intermède de sa voix ductile. Il habite son texte pour mieux expulser l’émotion qu’il renferme. De vocalises en tremblements, jouant agilement sur une large palette de nuances et de rythmes, il parvient à nous la faire partager. Convaincant dans la tourmente (Funeste piagge de Giulio Caccini), irrésistible dans l’allégresse (Non avea Febo ancora d’Antonio Brunelli), son timbre de baryton parle directement à notre cœur." - BaroquiadeS
"Comment ne pas être touché par les plaintes d’Apollo ou d’Orfeo (« Funeste piagge » de l’Euridice de Caccini), dont Renato Dolcini, bouleversant, distille chaque soupir?" - OperaMagazine
"Aucun soliste, toutefois, n’est sollicité comme Renato Dolcini (Apollon, Orphée), saisissant de mobilité expressive et de vérité. De la sidération, de l’hébétude aux accents éperdus du plus âpre désespoir, il semble pouvoir tout vivre, tout transmettre." - ForumOpera
"Des perles, il y en a un certain nombre dans ce programme et le talent d'interprétation de Renato Dolcini nous en révèle quelques-unes. Son fougeux Appolon se mue en mélancolique Orphée et que ce soit l'un ou l'autre, il nous touche en plein coeur" - FranceInfo
"Renato Dolcini nous étonne par une expressivité très riche. Le baryton est un fabuleux Apollon et un Orphée époustouflant tout au long de la soirée. Tantôt guilleret, tantôt plus grave, il se montre parfait pour aborder l’entrée de l’opéra par la Pastorale. Ses solos resteront mémorables tant il fut l’alchimie idéale entre la générosité, la passion et la ferveur, tout comme son sublime vibrato sur Un guardo, un guard’appena." - ClassicAgenda
"[...] l’irrésistible Non havea Febo ancora de Brunelli, où l’on remarque déjà le savoir-faire de Renato Dolcini. [...] Se distingue l’Apollon de Renato Dolcini, intense dans Un guardo, un guard’appena, où il cisèle une déclamation chantée émouvante et vibrante de lyrisme. [...] La mort d’Eurydice, comme l’Enfer, offre à l’Orphée dévolu à Renato Dolcini une tribune à son expressivité." - ConcertoNet
"Appartenant à la jeune génération de chanteurs qui a si bien assimilé une vocalité exigeante, souvent exubérante [...] le milanais Renato Dolcini, beau timbre de baryton clair, est tour à tour Apollon puis Orphée, d'une expression souvent bouleversante." - L'éducation musicale
"De cette mosaïque musicale qu’est ce concert, on retient les prestations très vivantes du baryton milanais Renato Dolcini. Mais aussi quelle douceur dans le Funeste piagge, extrait de l’Orfeo de Giulio Caccini." - ResMusica





